Une peau prête à accueillir les rayons chaleureux du soleil !
Public
Cet atelier est destiné à un public débutant en soins cosmétiques mais soucieux d’acquérir les bases et de vivre un moment d’échange convivial.
Nous y préparerons une huile solaire 3 en 1, un gommage naturel et une huile de soin post-épilation.
Où ? A la Maison de Quartier de l’Allée des Oiseaux, 30, à 7000 Mons
Quand ? Le 9 juin 2019, de 10h00 à 12h30
Combien ? 40€ (à verser dès la confirmation d’inscription sur le compte Triodos BE61 5230 8058 1817)
Inscription : uniquement par e-mail: info@ecocentre-oasis.be ou via 0032 (0)470/173820
Important : chaque participant doit se munir impérativement des éléments suivants :
– un tablier
– un flacon de 100 ml
– trois contenants en verre à large bord de 50 à 100 ml
Si vous n’avez pas de contenants, ils pourront être achetés le jour de l’atelier.
Contexte
Cet atelier est organisé dans le cadre du cycle « Cosmétiques au naturel » qui vise à partager savoir-faire et bons conseils pour réaliser vos soins naturels.
Objectifs
Transmettre, échanger du savoir-faire sur les techniques de fabrication de cosmétiques naturels.
Faire soi-même permet de s’assurer que les ingrédients et les méthodes utilisés correspondent exactement à nos attentes. Cela nous reconnecte avec la terre, les animaux et les agriculteurs qui nous fournissent la matière première. Cela réduit également notre dépendance à un système souvent injuste, inhumain et écologiquement destructeur.
Enjeux
De nos jours, les grands groupes cosmétiques font fi des savoirs ancestraux nobles qui ont présidé à la fabrication et à l’usage des cosmétiques à travers l’histoire. Ils n’ont aucun scrupule à utiliser des produits de piètre qualité, dangereux pour l’homme, la terre et les animaux. Faire soi-même permet de s’assurer que les ingrédients et les méthodes utilisés correspondent exactement à nos attentes. Cela nous reconnecte avec la terre, les animaux et les agriculteurs qui nous fournissent la matière première. Cela réduit également notre dépendance à un système souvent injuste, inhumain et écologiquement destructeur.
Dans les années 30, l’heure est aux premiers congés payés. Le teint hâlé est un must, signe de vacances au bord de l’eau et d’aisance, même s’il s’obtient en toute insouciance. Il faut attendre 1935 pour éveiller les mentalités face aux dangers du soleil et voir apparaître le premier soin protecteur. Mais aujourd’hui les crèmes solaires traditionnelles contiennent des perturbateurs endocriniens qui dérégulent nos systèmes hormonaux, et des composants dérivés du pétrole qui polluent les mers. Et si on pouvait se préparer efficacement à l’exposition solaire avec un cosmétique qui deviendrait ensuite notre produit protecteur *?
Bien que certaines personnes considèrent la pratique de l’épilation comme un phénomène de mode relativement récent, il n’en est rien. L’épilation et la dépilation sont en effet apparues très tôt dans l’histoire de l’humanité. Depuis la nuit des temps, toutes les civilisations ont tenté à un moment ou à un autre d’éloigner le poil, symbole d’animalité et d’impureté, en essayant de le domestiquer ou de le supprimer. Les premières traces d’outils créés par l’homme ayant pu servir à l’épilation, comme des pinces à épiler rudimentaires, ont été ainsi retrouvées dans des sépultures datant de la préhistoire. Mais c’est à partir du 3ième millénaire avant Jésus Christ que semble s’être développée une véritable culture de l’épilation, notamment sous l’influence des croyances religieuses de l’époque.
* Excepté pour des expositions prolongées au soleil car il faudrait alors de réels filtres anti-UV. Opter alors pour des crèmes bio sans nanoparticules.